Ca ne m'étonne pas que tu ne t'en souviennes pas du 14/02.
Le matin, maman téléphone et me prévient qu'elle vient me chercher. Ce matin-là, j'ai trouvé 1 billet de 5 euros. Il faisait froid et il y avait une légère brume. Dans le métro, des types tenaient leur rose à la main, je me souviens d'avoir envié ces filles. On a attendu longtemps à la préfecture. Prendre un café avec ma mère a été surréaliste, c'était tellement hors de nos ordinaires. Le repas était prêt quand je suis rentrée, peu de temps après tu es allé rendre visite à ton banquier. On s'est peu vu, je me souviens t'en avoir fait la remarque. Le soir, faute d'avoir acheté une stupide babiole valentine, je nous ai préparé un dîner de restaurant. Tu n'es pas sensible au plaisir de cette chair-là. Tu es un goujat en fait. Tu as lavé la vaisselle, je suis venue, derrière, te caresser le ventre. Tu sais comme j'aime ça. Tu m'as assénée un cinglant c'est pas parce que c'est la st valentin qu'il faut faire semblant. Un goujat.
Vous faites chier les mecs.
14 mars, 2008
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1 commentaire:
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