Ce matin, en écoutant les nouvelles, j'ai appris qu'aujourd'hui c'était le printemps. Ah! J'ai froid, la neige pas encore fondue s'agrippe aux brins d'herbe comme la sorcière sur son balai. Je pense au livre ardu de C.Milosz, la pensée captive, le personnage se désespère de sa vie de communiste polonais, de mars, ses giboulées, ce froid, cette sale période. Et toi, le gros dégueulasse, ç'a ne t'a pas empêché, de descendre de ta monture à deux roues pour sortir ton appareil à deux boules et pisser contre un feu rouge, en plein carrefour.En pleine poésie. C'est le printemps.
5 commentaires:
Oui, le printemps a la tête dans le cul.
qui es-tu pour être le/a seul/e à venir commenter céans?
Papiers s'il vous plait !
Important qui je suis ?
très bien, tu es un papillon qui butine ici de temps en temps, peinard, y'a jamais personne;
non, tu es un ivrogne, tu n'as pas toute ta raison pour venir te saoûler ici,
tu peux dire ce que tu veux, le net est le paradis des mythomanes,
tu as raison ce n'est pas important.
Attends, on viendrait avec nos vraies tristes vies et tronches... alors qu'on peut être super et top !
j'sais pas, je traine un peu c'est vrai, comme l'alcoolo qui veut pas rentrer, pas tout de suite. Tu n'es pas mon seul bar mais j'aime bien l'ambiance.
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