
[ce qu'en dit la 4è de couverture]
célèbre en Australie, auteur du classique "constamment réimprimé" Wake in Fright (1961) (= Outback au ciné en 1971)( j'imagine que c'est une manière implicite de conclure que le roman est bon puisqu'il a été adapté à l'écran),
Cinq matins de trop, en français.
Le jeu est un vice, la bibine aussi. Il fait trop chaud là-bas, c'est un désert. A la manière d'un road-movie, un instit. se lance à l'insu de son plein gré à l'autodestruction. Quelle buse!
Voilà une caractéristique bien particulière des gens de l'Ouest, songea Grant. Tu peux coucher avec leurs femmes, spolier leurs filles, vivre à leurs crochets, les escroquer, faire presque tout ce qui te frapperait d'ostracisme dans une société normale : ils n'y prêtent guère attention. Mais refuse de boire un coup avec eux et tu passes immédiatement dans le camp des ennemis mortels.
Ben oui mon pote, ça s'appelle une bande de couillons, et dans toute bande faut suivre rites, us et coutûmes. La bande des conducteurs de mobylettes, de la confrérie des andouillettes, des bloggeurs même...
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