eLLe me pèle les seins. eLLe sera mon fusible.
Je voulais faire l'éloge du roman de Baricco
Je voulais faire l'éloge du roman de Baricco
pcq ses mots sont des diamants de poésie.
Rien que l'Ouverture sur une course automobile du début du siècle. Ne lire que ces quinze pages et vérifier que, oui, contrairement à ce que pense ce suffisant R.Millet, les bons auteurs ne sont pas tous morts. Ironie. Millet est éditeur chez Gallimard, là-même où Baricco est édité.
Pas le courage. L'éloge est dans mon absence d'éloge.
eLLe me pèle les seins. Foutue bonne femme se promenant à 2 ou 6 heures du mat avec ses saloperies de chaussons à talons. Des chaussons à talons, mais quelle idée.
Non vraiment, Cette histoire-là de A.Baricco, c'est un livre-ovni à Lire, et, à la fin vous serez peut-être auréolé de l'ombre d'or...
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