vif, drôle, étonnante réflexion, meilleur de la jeune génération... A force d'en entendre parler, la curiosité fait son chemin comme le marketing dans notre porte-monnaie. Merde, encore flouée. Ca se veut brûlot, c'est du pipi de chameau. Ca fait son intéressant, ça cite Husserl et Kundera pensant nous impressionner ou cherchant à cautionner sa fonction d'écrivain. Flonflons. Je cite par-ci, je cite par-là, je suis vraiment cultivé. Je vous dis un peu ce que je pense du roman qui part à vau-l'eau, des menaces pesant sur lui. Pardonnez mes miasmes, c'est ma façon d'écrire. Ca? un devoir d'étudiant que je devais rendre au plus vite à mon prof. de litérature moderne.
A la limite, la seule façon d'exprimer quelque chose serait d'installer parallèlement un doute volontaire sur la sincérité de ce qui est dit.
Voilà, voilà. Bientôt Voici pour Zeller. Meilleur de la jeune génération...
J'ai détesté la fascination du pire, 157 pages ennuyeuses, vides, mal écrites; j'ai du rien comprendre, j'ai pas fait sc.po.
18 janvier, 2007
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