Franchement, c'est presque une injure. Dans l'imaginaire, le mien en tous cas, je l'associe à quelqu'un de coincé, fade, discret. Un rat. Je me souviens de ce poème de Rimbaud crachant son aversion pour ses bibliothécaires carolomacériens, ces individus si insignifiants et si détestables. J'ai appris la mesure, se méfier des jugements trop hâtifs. Ressentir l'injure. Pour l'autre le compliment.
là, je suis fair-play. Cadeau!
01 décembre, 2006
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